Encore une énième journée à la bibliothèque. Le travail ne manque pas. L'approche des examens, devoirs à rendre. Il faut avouer que les profs ne nous ménagent pas. En même temps, on était prévenus.
Habituellement, la bibliothèque est calme, sauf les jours de grande chaleur, où là, les gens viennent y squatter, non pas pour bosser, mais pour parler au frais et au calme. Or aujourd'hui, elle est bondée ! J'ai jamais vu ça ! Je suis installée à la section économie, ma section fétiche dans le sens ou, normalement, elle est quasiment vide. Je décide de faire une pause dans ma lecture et d'observer les gens. A ma grande surprise, les visages ne m'étaient pas inconnus. Ils étaient tous dans mon groupe d'économie... Étrange... Que font-ils tous là ? C'est pas leur style de trainer dans le coin... A mais j'oubliais ! Nous devons tous rendre un devoir pour jeudi... Après demain. Tout s'explique ! En gros, les trois quart de mon groupe ne l'ont pas fait ! Ce sont de gros malades ! Faire un devoir deux jours avant la date butoir c'est du suicide ! En même temps ça les regarde. Le mien est bouclé depuis trois jours. Je les regarde en train de tenter de rendre une copie potable. Je rigole intérieurement. Entre ceux qui font une copie collective et ceux qui ne comprennent même pas le sujet, j'imagine même pas le soufflon qu'on va se prendre par le prof quand il nous rendra nos copies. J'ai l'impression que dans cette fac, seuls les boursiers bossent. Dans mon groupe, ça se limite à ma personne. (oui il y a de quoi se sentir assez seule !)
Dans le lot, je remarque un gars, très connu car très désiré par la gente féminine, réputé comme un conquérant (ça ne vient pas de moi), tout droit sorti d'un magasine de mode (je suis persuadée qu'il met plus de temps à se préparer que moi !), totalement en décalage du reste. Il regarde les autres bosser. Il a pas l'air de se sentir concerné. Bizarre. Il en fout pas une même quand il est dos au mur.
Manque de chance pour moi, nos regards se sont croisés. Fin, disons que comme ça doit être un mec assez imbu de lui-même, il a dû croire que je le matais (bon peut-être que c'est un tout petit peu vrai, mais un tout petit peu alors). Arf, la tuile...
[J'ai mis un titre par défaut, tu peux le modifier ! Je suis en panne d'inspiration xD]
Habituellement, la bibliothèque est calme, sauf les jours de grande chaleur, où là, les gens viennent y squatter, non pas pour bosser, mais pour parler au frais et au calme. Or aujourd'hui, elle est bondée ! J'ai jamais vu ça ! Je suis installée à la section économie, ma section fétiche dans le sens ou, normalement, elle est quasiment vide. Je décide de faire une pause dans ma lecture et d'observer les gens. A ma grande surprise, les visages ne m'étaient pas inconnus. Ils étaient tous dans mon groupe d'économie... Étrange... Que font-ils tous là ? C'est pas leur style de trainer dans le coin... A mais j'oubliais ! Nous devons tous rendre un devoir pour jeudi... Après demain. Tout s'explique ! En gros, les trois quart de mon groupe ne l'ont pas fait ! Ce sont de gros malades ! Faire un devoir deux jours avant la date butoir c'est du suicide ! En même temps ça les regarde. Le mien est bouclé depuis trois jours. Je les regarde en train de tenter de rendre une copie potable. Je rigole intérieurement. Entre ceux qui font une copie collective et ceux qui ne comprennent même pas le sujet, j'imagine même pas le soufflon qu'on va se prendre par le prof quand il nous rendra nos copies. J'ai l'impression que dans cette fac, seuls les boursiers bossent. Dans mon groupe, ça se limite à ma personne. (oui il y a de quoi se sentir assez seule !)
Dans le lot, je remarque un gars, très connu car très désiré par la gente féminine, réputé comme un conquérant (ça ne vient pas de moi), tout droit sorti d'un magasine de mode (je suis persuadée qu'il met plus de temps à se préparer que moi !), totalement en décalage du reste. Il regarde les autres bosser. Il a pas l'air de se sentir concerné. Bizarre. Il en fout pas une même quand il est dos au mur.
Manque de chance pour moi, nos regards se sont croisés. Fin, disons que comme ça doit être un mec assez imbu de lui-même, il a dû croire que je le matais (bon peut-être que c'est un tout petit peu vrai, mais un tout petit peu alors). Arf, la tuile...
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