La popularité du Klaus montait en flèche ces temps-ci.
Il faut croire que les filles sont partout les mêmes. Les mecs virils en sueur ça les excite. Depuis que j’avais intégré l’équipe de basket de l’université le nombre de mes fans ne cessait d’augmenter, j’avais même entendu parler d’un genre de fan-club, mais ça restait une rumeur en laquelle je ne prêtais pas trop attention. Les morues s’amassaient en bancs pendant les entraînements pour nous « encourager ». Il y avait de bons spécimens parmi elles… je dirais des bonnets E…J’avoue, ça me fait plaisir, ça se voit tant que ça ? Dans mon immense générosité, je gardais sur mon portable le numéro de quelques élues (les plus bonnes, sinon ça sert à rien). Pour l'instant je n'en avais appelée aucune, un certain australien se chargeant de satisfaire mes pulsions perverses presque jusqu'à épuisement...Mais ça elles n'avaient pas besoin de le savoir.
J’étais donc d’excellente humeur ce jour-là en sortant du vestiaire des garçons, à la fin de notre entraînement du samedi, qui avait tourné cours à cause de l'absence d'un certain nombre de joueurs. Après avoir salué les autres membres de l’équipe et esquivé un petit rassemblement de morues de seconde classe, je me décidai à me poser quelque part pour travailler.
Je sais, ça peu choquer de voir que le mot « travailler » figure dans mes pensées, mais notre professeur d’économie nous avait conseillé un bouquin particulièrement passionnant pour « approfondir le cours ». C’était une matière que j’aimais bien, donc pour une fois, j’étais d’humeur et j’avais la motivation suffisante pour continuer la lecture du pavé de 500 pages qui pesait dans mon sac…
Il faisait encore assez beau pour pouvoir lire à l’extérieur sans se les peler. J’optais pour un endroit assez calme du parc de l’école. Il y avait des bancs en bois, alignés le long du lac artificiel. Je m’allongeai sur le seul d'entre eux qui semblait propre, protégé du soleil un peu trop fort de la matinée par le feuillage dense des arbres. Je plaçai mon sac derrière ma tête pour me servir de coussin et entamait ma lecture, le livre sur le ventre.
Il faut croire que les filles sont partout les mêmes. Les mecs virils en sueur ça les excite. Depuis que j’avais intégré l’équipe de basket de l’université le nombre de mes fans ne cessait d’augmenter, j’avais même entendu parler d’un genre de fan-club, mais ça restait une rumeur en laquelle je ne prêtais pas trop attention. Les morues s’amassaient en bancs pendant les entraînements pour nous « encourager ». Il y avait de bons spécimens parmi elles… je dirais des bonnets E…J’avoue, ça me fait plaisir, ça se voit tant que ça ? Dans mon immense générosité, je gardais sur mon portable le numéro de quelques élues (les plus bonnes, sinon ça sert à rien). Pour l'instant je n'en avais appelée aucune, un certain australien se chargeant de satisfaire mes pulsions perverses presque jusqu'à épuisement...Mais ça elles n'avaient pas besoin de le savoir.
J’étais donc d’excellente humeur ce jour-là en sortant du vestiaire des garçons, à la fin de notre entraînement du samedi, qui avait tourné cours à cause de l'absence d'un certain nombre de joueurs. Après avoir salué les autres membres de l’équipe et esquivé un petit rassemblement de morues de seconde classe, je me décidai à me poser quelque part pour travailler.
Je sais, ça peu choquer de voir que le mot « travailler » figure dans mes pensées, mais notre professeur d’économie nous avait conseillé un bouquin particulièrement passionnant pour « approfondir le cours ». C’était une matière que j’aimais bien, donc pour une fois, j’étais d’humeur et j’avais la motivation suffisante pour continuer la lecture du pavé de 500 pages qui pesait dans mon sac…
Il faisait encore assez beau pour pouvoir lire à l’extérieur sans se les peler. J’optais pour un endroit assez calme du parc de l’école. Il y avait des bancs en bois, alignés le long du lac artificiel. Je m’allongeai sur le seul d'entre eux qui semblait propre, protégé du soleil un peu trop fort de la matinée par le feuillage dense des arbres. Je plaçai mon sac derrière ma tête pour me servir de coussin et entamait ma lecture, le livre sur le ventre.